Essayez de vous assurer que nous utilisons un langage accueillant et inclusif pour tous. Réfléchir aux choix de mots peut grandement contribuer à ce que les gens se sentent inclus par et dans votre contenu.
IMPORTANT : Il est essentiel d'écrire pour et sur les autres d'une manière compatissante, inclusive et respectueuse. |
Voici quelques lignes directrices sur la façon dont certains mots et/ou expressions doivent être pris en compte pour l’inclusivité :
- Des mots comme « fou » ou « psycho » : ces termes sont fréquemment utilisés, mais quand on considère les définitions réelles (chaotique, incertaine, sauvage, décalée), on comprend que ces termes peuvent être rebutants pour les personnes atteintes de maladie mentale. Selon le contexte, de nombreux autres mots peuvent être utilisés à la place.
- Termes genrés : évitez les termes genrés en faveur d'alternatives neutres, comme « serveur » au lieu de « serveuse » et « homme d'affaires » au lieu de « homme d'affaires ».
- Des mots comme « victime » : lorsque vous faites référence à l’état de santé ou au handicap physique d’une personne ou d’un groupe, mettez d’abord l’accent sur la personne. Ne traitez pas une personne souffrant d’un problème de santé ou d’un handicap de « victime ».
- Termes relatifs aux migrants : la migration est une condition temporaire qui ne devrait pas englober l'existence entière des personnes entreprenant ce voyage. Les migrants sont avant tout des personnes. Lorsque nous écrivons à leur sujet, n’oublions pas de mettre l’accent sur leur individualité en tant qu’êtres humains plutôt qu’en tant que catégorie économique ou sociale. Lorsque nous parlons de migrants, nous pouvons utiliser « personnes migrantes » ou familles de migrants », ou « quelqu'un qui a traversé une frontière internationale », ainsi que « demandeurs d'asile » et réfugiés, qui peuvent être « des personnes ayant déposé une demande d'asile ». », et « les personnes ayant obtenu l’asile en… ».